Nabhen Bouchaâla, président de la TAA : Nous voulons développer le secteur des composants automobiles en Tunisie

Nabhen Bouchaâla, président de la TAA : Nous voulons développer le secteur des composants automobiles en Tunisie

Suite à la tenue de la cérémonie du lancement de la « Tunisan Automotive Association » (TAA), nous avons rencontré son président, Nabhen Bouchaâla, qui a bien voulu répondre à nos questions. Interview express…

Pouvez-vous nous faire une présentation de votre Association ?

Nabhen Bouchaâla : L’association Tunisian Automotive (TAA) est un acteur-clé et efficace censé créer un environnement favorable au développement de l’industrie des composants automobiles et encourager l’implantation de nouvelles entreprises en Tunisie.

Notre Association se propose, également, d’organiser et de participer à toutes les manifestations tout en représentant, par le biais de ses propres commissions, les activités du secteur des composants automobiles et de l’industrie y afférentes tout en assurant la défense des intérêts des acteurs et des membres de l’Association.

Pourquoi la création d’une pareille association ?

N.B : Il faut dire que la création de la « Tunisian Automotive Association » se justifie largement surtout si l’on sait que la Tunisie occupe une place de choix dans le secteur des composants automobiles. Notre pays est classé, effectivement, parmi les premiers fournisseurs de l’Union Européenne en faisceaux et câbles.

Et c’est ce qui explique notre détermination de maintenir cette notoriété tout en attirant davantage de sociétés du secteur et de constructeurs automobiles.

Quels sont les objectifs de votre Association ?

N.B : Pour nous, l’essentiel demeure est de garantir une mobilisation extrême pour capitaliser ce qui existe, déjà, afin de développer le secteur qui est stratégique pour la Tunisie. Pour cela, nous procédons d’une manière méthodique en vue d’interpeller les divers intervenants, en l’occurrence l’Etat, l’Administration, les ports, la Douane et les différents ministères concernés ainsi que les partenaires sociaux, les représentations diplomatiques, les Chambres de commerce mixtes et tous ceux qui peuvent apporter leur soutien aux investisseurs étrangers pour les sécuriser.

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