Ce virus qui sape notre moral et réduit nos libertés

Ce virus qui sape notre moral et réduit nos libertés

Il est malheureusement impossible d'échapper à la redondance mais quoi d'autre que le virus qui sape notre moral, réduit nos libertés et augmente notre stress ?

A chaque fois qu'on veut oublier la crise sanitaire, on est rattrapé par l'actualité de cette dernière. Il ne se passe pas un jour sans avoir un compte rendu des méfaits de ce virus chez nous et dans le monde où le chiffre de 2 millions de décès a été dépassé.

Toutes les informations sont balayées par Covid 19 relayées par les nouvelles menaces des autres variantes.

La vie quotidienne d'un confiné a été chamboulée comme jamais par aucun événement auparavant.

Avec le couvre feu tout tourne au ralenti, dans des villes fantômes aux rues désertes et silencieuses. Chez soi on est claquemuré tôt et on s'invente des occupations pour oublier. Cela n'empêche que les nerfs sont à vif, les esprits usés par ce nouveau confinement et par cette absence de voie de sortie de cette tragédie.

Un seul mot nous rappelle que si tout se passe correctement on peut entrevoir l’espoir, c’est le vaccin disent les spécialistes. Les tunisiens sont " provax " et s'impatientent. Ils exigent d'être immunisés rapidement surtout après l'irruption des variantes qui ont accéléré le changement de pied. On s'est pris en retard et on compte sur la solidarité et la coopération de certains pays amis. Il faut se préparer sérieusement pour réussir cette campagne vitale et ce qu'on veut c'est qu'elle n'ait aucun raté, aucun couac logistique et aucun problème d'organisation.

Chez les nantis la vaccination a commencé en trombe, le vaccin est devenu un élément essentiel et un atout pour la classe politique. Joe Biden a fait le pari de fournir 100 millions de doses durant les 100 premiers jours de son mandat qui commence mercredi, après une passation petit format et dans des impressionnantes conditions sécuritaires.

On est maintenant dans le dur du dur et on a hâte de retrouver le rythme normal de notre vie et là c'est avant tout un problème de responsabilité individuelle avant d'arriver à la vaccination la séquence finale qui doit figurer parmi les charges prioritaires de ceux qui nous gouvernent.

Bon week-end.

 

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