Points chauds : Un an après le COVID-19

Points chauds : Un an après le COVID-19

Le 11 janvier 2020 est le début de la calamité qui s'est abattue sur le monde mais la date de la fin n'est pas encore connue .Il y a un an la Chine annonçait la mort d'un malade atteint de Covid-19 le plus célèbre des virus tellement on en parle. Un an après Pékin tente d'accréditer sans aucune preuve la théorie selon laquelle l'épidémie aurait été introduite en Chine depuis l'étranger. Il est peu probable que la délégation de l'OMS qui a été enfin autorisée à rentrer en Chine après demain puisse y trouver la preuve que le virus a commencé son tour du monde à partir de Wuhan. Une visite ultra sensible pour la Chine qui n'a cessé de repousser le principe d'une enquête internationale. Et pour prouver au monde que la Chine a vaincu l'épidémie la télévision a montré des images de citoyens dansés dans les rues de Wuhan

La politisation de l'épidémie éloigne les chances de connaître un jour le point de départ de cette tragédie mondiale qui s'est abattue sur le monde il y a un an. Depuis cette date ce maléfique virus ne cesse de s'acharner impitoyablement sur les humains faisant grimper le compteur des contaminés et surtout celui des décès qui va bientôt atteindre les 2 millions.

Cela dit la course aux vaccins s'accélère et c'est Israël qui est en tête suivi des Émirats arabes unis et de Bahreïn. Mais ce qui est désolant et non surprenant c'est qu'Israël n'a fourni aucun vaccin aux palestiniens malgré les appels d'Amnesty International .L'autorité palestinienne et le Hamas comptent sur l'OMS pour leur fournir ce sésame.

En Tunisie le temps est venu de dire aux tunisiens sans détour et sans calcul quand ils vont être vaccinés et quelle est la stratégie adoptée pour réussir cette campagne de vaccination.

Cela est plus important que tout le reste qui semble préoccuper les politiques, et a pour effet d'aider les citoyens à supporter l'attente et l'angoisse surtout que les mauvaises nouvelles se succèdent en cascade avec l'arrivée soudaine de ce virus variant qui nous dit on est plus contagieux et moins virulent que covid 19.

Quelle fatalité, un malheur n'arrive jamais seul, on n'est donc pas sorti de l’auberge.

Un an déjà que nous subissons cette malédiction sans savoir quand elle va disparaître, un temps qui semble une éternité et qui rend l'attente du vaccin longue et pénible." Rien ne peut arrêter le covid sans un sursaut citoyen " affirme Taha Zinelabedine inspecteur général au ministère de la santé, le salut est aussi entre nos mains.

 

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