520 participants venant de 33 pays au Forum Mondial sur la Démocratie Directe Moderne

520 participants venant de 33 pays au Forum Mondial sur la Démocratie Directe Moderne

Le comité d'organisation du Forum Mondial sur la Démocratie Directe Moderne, qui a tenu sera tenu du 14 au 17 mai 2015 à Tunis vient de tenir une conférence de presse pour présenter cet évènement important.

Cette conférence de presse a vu la présence du président de l'université de Carthage Lasaad EL ASMI, du Secrétaire Général-Adjoint de l'UGTT Samir CHEFFI qui ont présenté les parties organisatrices tunisiennes, ainsi que de partenaires internationaux, notamment Swissinfo, DEMOCRATY INTERNATIONAL et Institute for Democraty and Electoral Assistance (IDEA).

Après avoir rappelé que ce Forum se déroulera sous le signe ''la décentralisation par la participation'', les différents intervenants ont insisté sur l’importance de la démocratie participative.

Le membre du comité d'organisation du Forum Mehdi BEN MIMOUN, a par la suite passé en revue les principaux axes du Forum, les programmes de ses ateliers et les thèmes de ses séminaires ; indiquant dans ce cadre la présence de 520 participants venant de 33 pays d'Europe, d'Amérique de Nord, d'Amérique latine, d'Asie, d'Afrique et du monde arabe.

Lasaad EL ASMI président de l'université de Carthage partenaire de ce Forum a pour sa part souligné l'importance de l'étape de transition démocratique que vit la Tunisie, et qui a été couronnée par la mise en place d'une nouvelle constitution pour le pays, l'élection des représentants du peuple et du président de la république. Il a ajouté que le plus grand défi auquel la Tunisie aura à faire face est l'élaboration de l'arsenal des lois et des législations régularisant les conseils régionaux qui représentent le mécanisme pour la participation des citoyens et la base de la démocratie directe et participative.

Dans le même contexte, le Secrétaire Général-Adjoint de l’UGTT Samir CHEFFI a insisté, de son côté,  sur l'importance de la tenue de ce Forum mondial en Tunisie. Surtout qu’il coïncide avec le démarrage des discussions sur les lois et les législations régissant les autorités locales et régionales vu que ces dernières permettent une plus large implication du citoyen dans les affaires publiques par sa participation active dans l'élaboration de programmes, la prise de décisions et la définition des politiques économiques et de développement.