Aymen Chandoul de l’USBG continue à faire « sa » loi en toute impunité!

Aymen Chandoul de l’USBG continue à faire « sa » loi   en toute impunité!

 

La rencontre de football pour le compte de la demi-finale de la Coupe de Tunisie, disputée dimanche 28 mai 2017, entre l’Union Sportive de Ben Guerdane (USBG) et l’Espérance Sportive de Tunis (EST) a suscité et suscite, encore, une grande polémique.
Tout d’abord, ce match est à inscrire dans le Guinness book puisqu’il a duré près de trois heures et demie à cause des multiples arrêts de jeu, dus presque tous, aux fanfaronnades du sieur Aymen Chandoul, vice-président de l’USBG, auteur des tristement célèbres propos : « si le président de la Fédération tunisienne de football (FTF), Wadiî El Jeri était touché au sein de la Fédération, ce sera la guerre de rues à Ben Guerdane »
Et pour le vice-président de l’USBG, ce sont tous habitants du Sud tunisien qui se rangent derrière Wadiî El Jeri.
Cette déclaration faite en direct sur antenne il y a, à peine, un mois et demi est restée impuni malgré le caractère haineux et l’incitation à la violence ainsi que l’appel clair et direct à la guerre civile. C’est ce qu’il encouragé à récidiver, hier, en faisant « sa » loi sur le terrain de Ben Guerdane avec ses apparitions provocatrices causant des arrêts allongés avec au total de près de vingt minutes, soit ce loin plus que les dix minutés réglementaires au-delà desquelles l’arbitre aurait dû faire arrêter la partie, sachant que rien qu’avant le premier tir de la série des penalties par le joueur espérantistes, le dénommé Chandoul a été à l’origine d’un arrêt de jeu de pas moins de…… sept minutes !
A cela s’ajoute le fait que le terrain de Ben Guerdane aurait dû écoper de deux matches à huis clos, mais le président de la FTF, Wadiî El Jeri a enfreint les réglementations en vigueur, faisant à sa guise et à sa tête.
Il faut dire que d’autres précédents ont eu lieu impliquant des dirigeants de grandes équipes dont Houcine Jenayah de l’Etoile et Moncef Khemakhem, président du CSS avaient causé des incidents majeurs en jouant à domicile sans subir la moindre sanction, d’où cet esprit d’impunité qui règne aujourd’hui sur le football tunisien.
Mais ce qui s’est passé, au cours de cette saison au stade de Ben Guerdane dépasse tout entendement dans le sens où les équipes qui s’y rendent ont l’impression d’évoluer dans une jungle où le club local a bénéficié des largesses des arbitres dont notamment la bagatelle de neuf penalties.
C’est dire que, par tous les critères, l’USBG devrait figurer sur le Guinness Book grâce au bon vouloir d’un certain Jeri qui fait l’unanimité contre lui, sauf à…… l’USBG !

Noureddine HLAOUI

 

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