Ces journalistes qui dérangent

Les agressions contre les journalistes ne semblent pas s’arrêter et il devient de plus difficile de pouvoir les juguler. Les déclarations de bonnes intentions des gouvernants et des autres acteurs de la société ne suffisent pas si l’on ne prend pas des mesures fermes.

Ainsi, selon le centre de Tunis de la liberté de la presse, au mois de mai, 22 journalistes ont été agressés alors qu’ils accomplissaient leur travail.  

C’est parce qu'ils dérangent que les gens des médias sont devenus la cible de tout le monde. Policiers, infirmiers, syndicalistes, instituteurs et autres ne cessent de s'en prendre à eux, sans encourir des poursuites.