Du pain sur la planche

Du pain sur la planche

Aujourd'hui on ne va pas nous attarder sur les élections américaines car silence on compte. Mais apparemment Joe Biden très confiant file vers la victoire alors que Donald Trump persiste et signe, hurle à la fraude et crie sa victoire.

Il se cabre dans la perspective de la défaite et même dans don camp on lui demande de jeter l'éponge mais ce n'est pas son genre. Selon l'état major de Biden c'est aujourd'hui que leur boss serai d déclaré 46ème président des États - Unis. C'est une règle, quand on gagne une élection on garde la raison mais quand la perd on a tendance à perdre la raison.

En attendant on ne peut ne pas parler de cet ennemi imbattable qui donne du fil à retordre à tous les gouvernements de la planète.

Les chiffres sont effrayants, plus de 1 million de décès dans le monde dont plus de 230 mille en Europe devenue l'épicentre de l'épidémie. Les gouvernements ne savent plus où donner de la tête, on a confiné puis déconfiné prématurément et maintenant obligés de reconfiner, on durcit les mesures après les avoir allégées, on ferme puis on ouvre. Mais cette fois avec cette progression rapide et cette diffusion massive de l'épidémie qui explose, les choses se compliquent dangereusement.

Aujourd'hui on va également parler d'un sujet peu glorieux pour notre pays jadis respecté et écouté et aujourd'hui pointé du doigt.

Le ministre français de l'intérieur est à Tunis pour négocier avec les autorités le retour de tunisiens en situation irrégulière et confondus de radicalisme que la France compte renvoyer. Certes beaucoup de jeunes se ont radicalisés mais il faut rappeler que la plupart des fichés en France ont la nationalité française et qu'ils ont été radicalisés en France.  

Que sera la réaction du gouvernement ? Voila un souci majeur de plus pour les autorités tunisiennes qui ont actuellement beaucoup de pain sur la planche.

Aujourd'hui plus que jamais la situation qu'on traverse exige plus de fermeté, d'autorité et exige une prise de décisions ferme car le temps ne nous est pas favorable et n'autorise aucun laxisme ou atermoiement.

 

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