Hechmi Hamdi dérape et traite Boubaker Ben Akacha « d’ignorant » !

Hechmi Hamdi dérape et  traite Boubaker Ben Akacha « d’ignorant » !

 

Hechmi Hamdi, le Britannique d’origine tunisienne se dénude de plus en plus et ses slogans populistes qu’il érige en programme social ne font plus recettes. Tout comme son comportement arrogant et impulsif. Ses dérapages se suivent et se ressemblent.

Invité de l’émission Midi show sur  Mosaïque FM, mardi 19 janvier, il a encore une fois dérapé. Bousculé par Boubaker Ben Akacha , il n’a pas trouvé de mots pour répondre que de traiter son interviewer « d’ignorant ». Pourtant l’animateur n’a fait que qualifier son projet de simpliste, rien de plus. Un ancien candidat à l’élection présidentielle, et qui plus est, ambitionne de diriger le pays, et n’a pas pu, encore une fois,  se retenir, cela le discrédite davantage. Il a récidivé, sans aucun respect pour l’animateur qui l’a invité, ni pour la chaÏne, ni encore plus pour les auditeurs qu’il espère rallier à sa cause « populiste ».

On se rappelle ses invectives et ses accusations lancées à la face de Samir El Wafi et contre Moez Joudi dans l’émission Nes Nessma, animée par Borhen Bsaies. Hachemi qui se prend pour le sauveur du pays et qui a passé plus de 20 ans en Grande-Bretagne dont il est citoyen et il ne s'en cache pas, était proche de l’ancien président Ben Ali qui lui avait ouvert les mannes de l’ATCE. Ses louanges dithyrambiques envers « la première dame de Tunisie qui fait ses prières et élève ses filles selon les préceptes de l’Islam », sont restés célèbres.

Ce Hamdi qui comptait « passer le mois de janvier avec sa famille et ses proches au Nord Ouest du pays pour  soutenir les habitants de la région pendant le  froid et pour les aider à faire entendre leurs voix et leurs revendications », s’est finalement désisté. » A quoi bon, a-t-il écrit de « dépenser de grandes sommes d’argent  pour le voyage, alors que les Tunisiens adorent la coalition au pouvoir? ». Voilà le prototype de « l’homme politique moderne ». Ni le Nord ouest ni la Tunisie entière n’ont besoin ni de politicards ni de charlatans par ces temps difficiles. Le populisme a vécu et les Tunisiens savent, après l’expérience de trois élections discerner le bon grain de l’ivraie.

 

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