La caravane présidentielle de Mehdi Jomâa à Jendouba, Fernana et Tabarka

Le président et candidat du parti Al Badil Ettounsi, Mehdi Jomâa, étant retenu pour de multiples engagements, c’est l’équipe de sa campagne présidentielle formée des membres du Bureau politique du parti, en la personne de Hédi Larbi, Riadh Jabeur, Mohamed Bennour, Oualid Mâaouia, Aziza Htira et Amel Tijani, en plus du coordinateur régional du parti, Safouène Salhi, et le chef de file de la liste Al Badil de la région de Jendouba aux prochaines législatives, Lotfi Marzouki, qui ont sillonné le gouvernorat pour des meetings populaires et d’être à l’écoute des citoyens, précisément dans la ville de Jendouba, Fernana et Tabarka, en passant par Boussalem et Aïn Draham, entre autres localités.

La caravane présidentielle de  Mehdi Jomâa a rencontré, à l’occasion, de nombreux citoyens afin de présenter les sujets phares du programme présidentiel du candidat d’Al Badil et d’en éclaircir le contenu et les objectifs.

Les membres du Bureau politique ont été surtout à l’écoute des doléances des citoyens de ces contrées, des contrées reléguées au second plan et totalement oubliées durant ces années par un gouvernement qui n’a fait que des promesses qui n’ont jamais été retenues, malgré les richesses halieutiques, agricoles et autres, mais dont n’a jamais profité la région.

Le coordinateur régional a déclaré aux présents que face à cette situation catastrophique du gouvernorat de Jendouba, les vraies solutions efficaces ne viendront que du candidat d’Al Badil Ettounsi, Mehdi Jomâa, qui a montré ses capacités à gérer les rouages de l’Etat et jouit de la confiance de tous, ayant démontré, lors de son passage à la tête du gouvernement en 2014, sa loyauté à la Nation et la réussite de son action.

C’est pour cela, a-t-il ajouté, que nous avons pleine confiance que Jomâa sera au deuxième tour de ces présidentielles anticipées et que c’est le gouvernorat de Jendouba qui fera la différence en tranchant le vote en sa faveur.

De même, dans la localité de Fernana, l’équipe de la caravane présidentielle de Mehdi Jomâa, sans trop de discours, a été surtout à l’écoute des citoyens sur place qui ont exprimé leur exaspération et leur déception du gouvernement en place qui a démontré son échec total à faire sortir la région de la pauvreté, du chômage de ses jeunes et des conditions sociales précaires. Sans oublier la crise aigüe du manque d’eau, alors que la région dispose de potentiels non négligeables en cette denrée vitale, avec l’abondance de l’eau et les barrages existants. Le désintéressement du secteur agricole de la part des responsables est un autre signe de leur échec, malgré la fertilité des terres, les projets industriels pour leur part, n’ayant jamais été dans l’agenda de ce gouvernement.

La corruption, le favoritisme et la décrépitude de la situation en général ont anéanti tout espoir de sortir du gouffre.

A Tabarka, où a eu lieu l’inauguration du siège d’Al Badil, les membres du parti de la ville présents, ainsi que les citoyens qui ont participé à la réunion, tenue au nouveau siège, ont évoqué les nombreux problèmes dont souffre la belle ville de Tabarka et les énormes difficultés que rencontrent agriculteurs, pêcheurs et artisans de la localité dans l’exercice de  leurs métiers dans les conditions minimales. Ils ont clairement exprimé qu’il n’y a aucun espoir de sortir de cette situation que par l’éviction de ceux qui ont gouverné ces dernières années, depuis 2011, et qui n’ont rien fait ni pour la région ni pour le pays, et voter pour ceux qui sont conscients et sensibles aux problèmes des citoyens, à l’instar de  Mehdi Jomâa en tant que président, et des candidats d’Al Badil qui les représenteront réellement à l’Assemblée du peuple, aux prochaines législatives.