Sanofi confirme son engagement dans la prise en charge de la douleur

Sanofi confirme son engagement dans la prise en charge de la douleur

 

Comme chaque année, le troisième lundi du mois d'octobre est marqué par la célébration de  la journée mondiale contre la douleur. A cette occasion, Sanofi Tunisie, en partenariat avec le centre de traitement de la douleur de l’hôpital Rabta de Tunis,  vient d’organiser, ce lundi 16 octobre 2017, une conférence de presse pour présenter les actions et programmes de sensibilisation nécessaires à la prise en charge de la douleur.

Ont pris part à cette conférence le Professeur Ahmed Laatar, Service de Rhumatologie à l’hôpital Mongi Slim La Marsa, Feirouz Ellouze, directrice générale des produits de santé grand public ainsi qu’un bon nombre de  professionnels de la santé mais aussi de médias.

L’esprit de cette campagne s’articule autour du concept de « Flash Mob ». Il s’agit d’une expression artistique déployée par un groupe de personnes, dans des lieux publics des grandes villes, et destinée à interpeller le grand public sur cette pathologie.

Pr Ahmed Laatar a déclaré que  "Cette journée mondiale contre la douleur est spéciale dans la mesure où il s’agit d’un travail de longue haleine pour arriver à améliorer les programmes de prise en charge de la douleur"  et d’ajouter : « Ceci ne date pas d’hier, car le fait de célébrer cette journée est la meilleure façon d’essayer de faire en sorte de faire avancer la médecine ».

Qu’est ce qu’on entend par douleur ?

Selon la définition officielle de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), "La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite dans ces termes".

Selon Pr Laatar, la douleur est là, elle est partout et la majorité des maladies s’expriment par la douleur. 

La douleur c’est quoi ? Ce n’est pas une maladie, c’est un symptôme qui annonce l'existence d'un problème. Lorsque cette sonnette d’alarme  se déclenche, c’est pour nous signaler qu’il y a un problème, une intrusion, une lésion qui devrait nous appeler à réagir, précise Pr Laatar.

Tout le monde a fait l’expérience de la douleur. Qu’elle soit aiguë, chronique ou autre,elle doit être prise en charge.

Le but étant de faire en sorte d’écouter son corps quand il y a une quelconque douleur afin d’éviter un cortège d’éléments désagréables (anxiété, fatigue, déprime…etc) pouvant conduire à une douleur chronique, affirme Pr Laatar.

Comment prendre en charge la douleur ?

La prise en charge de la douleur, quelle que soient son intensité et son origine revêt une grande importance pour les professionnels de la santé.

Pour le Pr Laatar ceci passe par trois phases :

-Evaluer l’intensité de la douleur soit suivant une réglette, soit en donnant un chiffre entre 0 et 10 exprimant l’intensité de la douleur.
-Identifier la cause de la douleur en vue de se faire aider par un professionnel de la santé.
-Soulager la douleur par le biais de moyens psychologique, physique ou des médicaments anti-douleurs appelés (antalgiques).

Avec Sanofi douleur…Dites non

Fort d’une expérience de plus de 50 ans dans le traitement de la douleur, Sanofi s’engage à soulager la douleur des patients afin d’améliorer leur qualité de vie au quotidien. Pour cela, il s’appuie sur 2 axes de progrès :

-Placer le patient au cœur de ses préoccupations par la mise à disposition d’informations pour mieux vivre avec une douleur.

-Accompagner les professionnels de santé concernés par la mise à disposition d’outils d’évaluation de la douleur et de services pour l’information scientifique sur la douleur.

Pour Feirouz Ellouze, directrice générale des produits de santé grand public : « Il ne faut pas accepter la douleur comme une fatalité mais la prendre en charge ». 

Sanofi et le Centre de traitement de la Douleur de la Rabta de Tunis, travaillent main dans la main pour faire avancer les choses en œuvrant continuellement à mieux soulager la douleur, précise Ellouze.

Et ce flash n’est qu’un moyen parmi tant d’autres pour théâtraliser la douleur dans les lieux publics et les hôpitaux en vue d’interpeler de façon originale, monsieur tout le monde à prendre en charge la douleur, souligne la  directrice générale des produits de santé grand public. 

Il y aura  même  un passage à la radio,  des conseils pratiques à la prise en charge de la douleur tous les lundis et vendredis s’intitulant « la minute douleur non », conclut  la directrice générale des produits de santé grand public.

En bref, la douleur, une fois vulgarisée, comprise et prise en charge, elle perd de son acuité et devient, plutôt, un fait à la limite du banal, donc bien supportable, tolérable et bien gérable. 

A.G

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