Une connivence « scientifique » sino-américaine pourrait-être à l’origine du Coronavirus ?!

Une connivence « scientifique » sino-américaine pourrait-être à l’origine du Coronavirus ?!

Alors que le mystère plane encore sur le principal vecteur de propagation du Covid-19 (vient-il du marché des animaux de la ville chinoise de « Whuan » ou s'est-il échappé accidentellement de l'un de ses discrets  laboratoires de recherche? ), une récente grande enquête publiée à la revue MIT (un magazine appartenant au Massachusetts Institute of Technology) vient d'accentuer le flou tout autour en pointant le doigts, cette fois-ci, non seulement sur des lacunes avérées dans la mise en œuvre des protocoles de bio-sécurité adéquats au sein de « l’Institut de virologie de Whuan », mais aussi sur une éventuelle connivence  « scientifique » sino-américaine  dans la fabrication et la propagation du virus.

Comme c’était souvent le cas, il a fallu un concours de circonstances pour faire basculter le cours de l'histoire. En effet, c’est suite à une rencontre fatidique tenue en 2013 entre le virologue américain « Ralph Baric », à son actif des centaines d’articles sur le coronavirus,  et son homolgue la scientifique chinoise « Zhengli Shi » de « l’Institut de virologie de Wuhan », surnommée de « batwoman » par la communauté scientifique, que la danse funèbre des chauves-souris a commencé :

1- Sur un échantillon de chauve-souris, la scientifique chinoise « Shi » avait détecté le génome d’un nouveau virus, baptisé SHC014, qui était l’un des deux plus proches parents du virus original du SRAS, mais son équipe n’avait pas été en mesure de le cultiver en laboratoire,  

2- Le virologue américain Baric « voit dans le travail de Shi une aubaine pour progresser dans ses recherches ; il lui demande de lui communiquer les données génétiques du SHC014. « Elle a eu la gentillesse de nous envoyer ces séquences presque immédiatement », dit-il 

3- Il se trouve que « Ralph Baric » avait mis au point un moyen de contourner ce problème : une technique de « génétique inverse » chez les coronavirus. Cette technique lui permettait non seulement de donner vie à un virus réel à partir de son code génétique, mais aussi de mélanger et d’associer des parties de plusieurs virus … »,

4- Dans son article de 2015, intitulé « A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence » (Un groupe de coronavirus de chauve-souris circulant semblable au SRAS et susceptible d’émerger chez l’homme), le virologue  américian « Baric » a  ravivé les inquiétudes concernant ses expériences de « gain de fonction » c’est-à-dire les expériences qui rendent des virus déjà dangereux plus virulents ou transmissibles ?!

5- Avec l'appui financier   des « National Institutes of Health » NIH (ensemble d’institutions gouvernementales des Etats-Unis spécialisées dans la recherche médicale et biomédicale),  le laboratoire du virologue américain « Baric » continue en toute quiétude « ses  fameuses recherches  de gain de fonction » en étroite collaboration avec le labo de « Shi » à Whuan,

6- Il a même plaidé pour que le gouvenement américain finance ce labo chinois,

7- Contre toute attente, le NIH « donne son autorisation pour financer des travaux similaires à ceux de « Baric » menés par l’Institut de virologie de Wuhan. Ce dernier va rapidement utiliser sa propre technologie de génétique inverse pour fabriquer de nombreuses chimères de coronavirus. Mais ce que personne n’avait remarqué à l’époque, c’est une différence essentielle, modifiant considérablement le calcul du risque. En effet, les travaux chinois ont été effectués au niveau de biosécurité 2, un niveau beaucoup plus bas que le niveau 3 de  Baric », d’où la question cruciale qui se pose : le virus est-il le produit de l’application à outrance du concept « gain de fonction » par le duo Baric/Shi ?

Une chose est sûre c'est que  la marche « triomphale » de la biotechnologie modene va se poursuivre  tant que des véritables  gardes-fou  bio-éthiques ne sont pas encore mis en place ! 

Dans ce  cadre bien précis,  on se demande pourquoi la communauté internationale n’a pas songé á mettre en place un accord additif au « Protocole de Carthegena » spécifique à ce genre de  manipulation génétique qualifiée à haut risque…

Certes, une question-réponse qui dérange une multitude de lobbies scientifiques au monde  !

N-B :

** Le « Protocole de Cartagena sur la prévention des risques biotechnologiques de la Convention sur la diversité biologique est un accord international dont le but est de garantir la sécurité de la manipulation, du transport et de l'utilisation des organismes vivants modifiés (OVM) issus des biotechnologies modernes qui peuvent avoir des effets nocifs sur la diversité biologique, en prenant aussi en compte les risques sur la santé humaine. Il a été adopté le 29 janvier 2000 et est entré en vigueur le 11 septembre 2003.

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