Vaccin contre le coronavirus: la malédiction de Pinocchio !

Vaccin contre le coronavirus: la malédiction de Pinocchio !

La punition des menteurs, ce n’est pas de se faire attraper. C’est de ne plus être cru lorsqu’ils disent la vérité. C’est la malédiction de Pinocchio, et aussi de ce petit garçon qui criait “Au loup, au loup”, pour s’amuser et qui finit par être dévoré le jour où le loup surgit vraiment.

Ces histoires que l’on racontait autrefois aux enfants sont en train de nous arriver, grandeur nature, et cette fois pour un sujet d’une gravité extrême.

La malédiction de Pinocchio est en train de ravager le monde médical
La revue médicale The Lancet a publié mercredi 3 février 2021, les résultats d’une grande étude sur le vaccin Covid Spoutnik. Cette étude conclut à une forte efficacité du vaccin (91,6 %), sans causer plus d’effets secondaires que les autres vaccins. Il y aurait même eu moins d’événements indésirables graves dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo ! 0,3 % contre 0,4 %. [1]

Aucun des problèmes de santé graves apparus après la vaccination n’a été attribué au vaccin lui-même.

Le problème est que The Lancet, qui était autrefois la revue médicale la plus prestigieuse et la plus respectée du monde, s’est discréditée le 22 mai 2020 en publiant une étude sur la chloroquine et l’hydroxycholoroquine comme traitements de la Covid-19.

Il s’agissait d’une étude invraisemblable qui concluait à une extrême dangerosité de ces substances (10 % de mortalité) sans aucun rapport avec les données observées historiquement pour ce médicament bien connu des médecins.

Devant le tollé, The Lancet a dû rétracter son article le 4 juin 2020. Mais aucune explication n’a été fournie entre temps : comment cette revue “à comité de lecture”, où chaque article publié est censé avoir été scrupuleusement analysé par des experts indépendants, a-t-elle pu publier de telles énormités ?

Cette étude ayant entraîné l’arrêt immédiat des essais cliniques portant sur la chloroquine, il était impossible de ne pas soupçonner un coup fourré de quelque laboratoire puissant, désireux de torpiller un traitement trop simple, trop connu et trop bon marché à leur goût…

Une nouvelle imprudence du Lancet

Cette étude sur le vaccin Spoutnik V paraît beaucoup plus sérieuse que l’étude sur la chloroquine. Vous pouvez en lire les détails sur ce site si vous êtes passionné par le sujet :
https://www.jim.fr/medecin/actualites/medicale/e-docs/spoutnik_v_sur_orb...

Mais que voulez-vous ?

On ne sait plus si on peut faire confiance à ce qui est écrit. En tout cas, en ce qui me concerne, ce n’est pas demain la veille que je pourrai tendre mon bras pour me faire injecter du Spoutnik sans arrière-pensées !!

Surtout que cette étude contient une bizarrerie : les personnes ayant fait un test PCR positif à la Covid ont été considérées par les chercheurs comme non-atteintes par la maladie à partir du moment où elles n’avaient pas de symptômes.

Cela ne remet pas en cause les conclusions de l’étude, si les données sont fiables. Mais ce qui est très étonnant, c’est que la chose n’a pas surpris les relecteurs du Lancet, qui ont fait un accueil enthousiaste à cette étude, sans se donner la peine d’en relever cette incohérence pourtant assez “énorme”.

Cela contribue à faire flotter un parfum de soufre sur le vaccin Spoutnik V, justifié ou non. Personne au fond ne peut le savoir avec certitude malheureusement.

A noter que Spoutnik V, tout comme son frère le vaccin d’Oxford-Astrazeneca sont fabriqués en modifiant génétiquement un adénovirus inoffensif. Cela en fait des OGMs, avec le risque que l’ADN modifié de l’adénovirus se recombine avec celui d’un autre virus pour produire un mutant dangereux qui provoquerait une nouvelle pandémie.

Le Pr Axel Kahn, président de la la Ligue contre le Cancer avait exprimé sa méfiance au sujet de ces vaccins, et j’avais moi-même relayé une grande pétition “Non aux vaccins OGMs contre la Covid”. Si vous n’avez pas encore signé la pétition et que vous doutez des risques des vaccins OGMs, je vous invite à regarder la vidéo suivante : https://www.youtube.com/watch?v=tYwCxe9gvQY&feature=youtu.be&ab_channel=...

Efficacité à 91 % du vaccin Pfizer en Israël. Peut-on le croire ?

De même, le second plus grand fonds de santé en Israël, appelé Maccabi, qui compte 2,5 millions de membres, a publié jeudi 4 février des données indiquant que, sur 416 900 personnes ayant reçu deux doses du vaccin Covid de Pfizer, seules 254 ont attrapé la Covid, contre 12 944 dans le groupe témoin (non vacciné), pendant la même période.[2]

Parmi ces 254 malades, la plupart ont des symptômes bénins. Seuls 4 ont été hospitalisés, tous dans un état rassurant.

Le groupe témoin (non vacciné) comptant 778 000 personnes, soit près du double du groupe vacciné, ces données montreraient une efficacité de 91 % du vaccin.

Maintenant, il faut savoir quel crédit accorder à ces informations, publiées dans le journal “Jerusalem Post”.[3] Y a-t-il des journalistes fiables, derrière ? Ou s’agit-il d’une opération de communication téléguidée par les labos ?

Là encore, c’est à la libre appréciation de chacun. Il n’y a strictement aucun moyen, même pour un chercheur scrupuleux dont c’est le métier, de vérifier de manière rapide et efficace si ces informations sont vraies ou non.

L’obligation vaccinale va être imposée, avec des pleurs et des grincements de dents

Soyons honnête, même si le gouvernement n’ose pas parler pour l’instant d’obligation vaccinale, on y court à toutes jambes.

Et si ce n’est pas imposé par la loi, cela sera imposé par les interdictions insurmontables pour les personnes non-vaccinées : exclusion des écoles, transports en commun, salles de spectacle, lieux publics, peut-être même hôpitaux.

Comment résister ?

Je crains que la seule réponse crédible soit une douche froide pour beaucoup de personnes qui n’ont pas encore réalisé à quel point nos libertés fondamentales ont fondu, ces dernières années, comme neige au soleil.

Avec les systèmes de traçage électronique en tout genre, y compris pour prendre un simple billet de train, il sera simple comme bonjour pour les autorités de repérer les contrevenants et leur imposer de lourdes amendes voire des peines de prison.

Pour résister, il faudra donc être prêt à tout perdre : non seulement nos biens matériels, suite à des saisies bancaires ou à l’interdiction d’exercer une activité professionnelle, mais également la suppression de nos libertés les plus fondamentales, y compris celle d’aller et venir, puisque les non-vaccinés seront considérés comme des nids de virus ambulants menaçant la sécurité publique et interdits un peu partout.

Je partage, bien entendu, la plus grande inquiétude à ce sujet. Si je suis à titre personnel prêt à me faire vacciner, car j’estime les risques liés à la vaccination moins graves que les conséquences sociales et médicales catastrophiques de cette épidémie qui perdure, je défends avec force la liberté de choix et m’opposerai de toutes les façons possibles à une vaccination généralisée des moins de cinquante ans en bonne santé.

Il est répréhensible d’imposer le vaccin Covid aux jeunes en bonne santé

Il me paraît absolument ridicule, et pour tout dire répréhensible, de vouloir vacciner de force, ou d’imposer des contraintes revenant à une obligation de fait, à toute la population de moins de 50 ans sans problèmes de santé.

On sait que, dans cette population, la mortalité par Covid est infinitésimale. Depuis le début de l’épidémie en France, seuls 0,5 % des décès concernent des 15-44 ans, et la quasi-totalité avaient des facteurs de risques importants. Les complications graves sont rarissimes. Il est mensonger d’affirmer qu’ils risqueraient de saturer les services de réanimation des hôpitaux, car de telles complications sont très rares chez ce profil de patients : en tout et pour tout, il n’y avait au plus haut de la seconde vague que 235 patients Covid de moins de 50 ans, soit 10 %.[4]

En revanche, il ne faut se faire aucune illusion sur la fiabilité de vaccins fabriqués à la hâte et testés de façon évidemment insuffisantes.

Dans ce type de situations d’urgence, s’il peut être justifié de prendre des risques pour essayer de protéger les personnes que l’on sait très vulnérables, il me paraît absolument aberrant et contraire à toute éthique médicale de vacciner des jeunes en bonne santé pour une maladie qu’ils ne craignent pas.

N’oublions pas qu’on est en train de parler de centaines de millions de doses, de milliards même de doses, fabriquées en quelques semaines. Des accidents industriels sont possibles. Des défauts de fabrication. D’éventuelles contamination des produits…

Nous avons beau être devenus très forts pour la production de masse, nous ne sommes pas encore des dieux, capables d’organiser la vaccination de 100 % d’une population en un temps record en écartant tout risque de catastrophe.

Mais je crains que ces paroles de bon sens ne soient pas entendues, dans le fracas des décisions autoritaires confinant à l’hystérie, auquel on nous a habitués depuis un an.

Que faire aujourd’hui ??

Que faire aujourd’hui ? La réponse est, malheureusement, qu’il va falloir se résigner à vivre une époque devenue folle.

Une époque où il faut prendre des décisions médicales, pour soi-même ou pour ses proches, sur la base d’informations scientifiques possiblement incomplètes ou falsifiées.

Une époque où vous ne savez plus ce que vous lisez dans les journaux ne sera pas contredit le lendemain ou même quelques heures plus tard. Une époque où beaucoup de journalistes – et de citoyens – se comportent comme une meute hurlant tous la même chose, et dépeçant sur leur passage les personnes qui tiennent des propos qui ne vont pas dans le sens du vent.

Une époque où tout débat, discussion respectueuse et constructive, est pratiquement devenu impossible, puisqu’il s’agit d’ignorer, caricaturer, calomnier ses opposants, plutôt que de leur répondre tout simplement sur le fond.

Pour ma part, cela faisait quelques années que je m’inquiétais des signes annonciateurs de cette “ère nouvelle”, où le mensonge et la vérité allaient devenir impossible à distinguer.

Mais franchement, dans mes pires anticipations, je ne pensais pas que la “malédiction de Pinocchio” allait s’abattre si vite, et à tous les niveaux de notre société…

Malgré tout, l’histoire a montré à de multiples reprises que, dans ces moments obscurs, il suffit qu’une seule personne garde son intégrité et continue à s’efforcer de dire ce qui est vrai, pour que soudain, comme une traînée de poudre, la vérité se répande et éclaire à nouveau le monde. Gardons espoir, donc ! A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

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