Affaire Rahma: Moncef Marzouki réagit au débat sur la peine capitale

Dans une publication postée sur Facebook, l'ancien président Moncef Marzouki a réagi au débat sur la peine de mort suite à la polémique suscitée par le meurtre atroce de Rahma.

"J'espérais que la Tunisie serait le premier pays arabe à abolir la peine capitale", écrit-il, avant d'indiquer qu'il avait découvert, lors de sa présidence, que 200 personnes avaient été condamnées à mort depuis des années et qu'il avait commué leur peine immédiatement. "Je n'ai signé aucun arrêté de pendaison", lance-t-il.