Carthage : Kendji Girac enflamme le théâtre Romain

Carthage : Kendji Girac enflamme le théâtre Romain

Prenez un physique de « beaugoss » ajoutez-y une voix d’ange sur des sonorités « gispy-pop » et vous aurez la recette gagnante de ce jeune chanteur et guitariste de flamenco français qu’est Kendji Girac.

Un chanteur qui a fait bouger dans la soirée du mercredi 1 aout l’emblématique scène du théâtre romain de Carthage, par sa musique qui vous transporte ailleurs…

C’est donc, un pari gagné pour le très charismatique Kendji vainqueur de la saison 3  de The Voice France, car de mémoire d’homme rarement le théâtre romain de Carthage n’a été pris d’assaut comme ce fut le cas au cours de cette soirée par un public jeune et branché.

C’était si beau la vie quand la jeunesse s’empare des gradins de Carthage avec autant d’envie de vivre, d’aimer, et de s’éblouir par un spectacle aux images fantastique, aux sonorités émouvantes et aux rythmes dansant.

A 20h00, le théâtre était déjà complet quand, soit une heure seulement après l’ouverture des portes. Des cris stridents, entrecoupés de slogans d’admiration de Kendji, ce jeune prodige de la chanson française qui fait ravage là où il passe. Ce fut un spectacle dans le spectacle avec des milliers de fans  brandissant des affiches sur lesquelles le non de leur idole est inscrit.

En chemise noire et pantalon blanc, Kendji Girac très enthousiaste a littéralement offert à son public  un aller direct en Catalogne.

Dès les premières notes de sa chanson « Commigo » le public a été vite séduit et n’a pas pu s’empêcher de chanter en tandem avec le chanteur. Après cette entrée en matière très réussie, ce sont enchainées les chansons« j’roule », « andalouse », « Bella » de Maitre Gims, « Maria, Maria », « Les yeux de la mama », «  Color Gitano », « Elle m’a aimé » et « Pour oublier » «  Me quemo » ,  sur font de guitare gipsy et inspirations funck ou rythmes latinos.

 Au delà des pas rythmes endiablés et des quelques pas de flamenco improvisés par Kendji ce concert qui a été placé sous le signe de l’émotion, a donc connu un succès phénoménal.   

Nour El Houda Ben Mrad

 

  

 

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