Le rôle de l'équipe de Génétique Moléculaire de l'Hôpital Farhat Hached de Sousse dans la découverte de la nouvelle maladie

Le rôle de l'équipe de Génétique Moléculaire de l'Hôpital Farhat Hached de Sousse dans la découverte de la nouvelle maladie
 
L’article qu’on a publié le mardi 11 octobre 2016 sous le titre : « Des médecins tunisiens découvrent une nouvelle maladie génétique » a fait un grand buzz et de très nombreux lecteurs ont exprimé leur satisfaction de cette prouesse qui honore les chercheurs et les médecins Tunisiens.
 
Dans notre article, on a dit que cette découverte est le fruit d'une collaboration entre une équipe médicale tunisienne et une équipe de Singapour en précisant que  la Doctorante Ons Mamai (génétique), ainsi les Professeurs Lobna Boussofara et Mohamed Denguezli (service de dermatologie de l'hôpital Farhat Hached de Sousse), en collaboration avec les Docteurs Zhong FL et Reversade B de Singapour, ont réussi à individualiser une maladie génétique nouvelle, qu'ils ont appelée "Carcinomes Multiples Familiaux Palmo-plantaires Autoinvolutifs" ou MSPC.
 
Entre temps on a été contacté par le Pr.Ali Saad et le Professeur agrégé Moez Gribaa qui ont estimé qu’ont aurait dû mentionner dans notre article le grand effort réalisé par l'équipe de Génétique Moléculaire de l'Hôpital Farhat Hached de Sousse qui a largement contribuée à la réalisation de ce travail.
 
Le Pr Saad a précisé qu'il a été l'encadreur de Mlle Ons Mamay pour sa thèse soutenue en novembre 2015.
Il a par ailleurs jugé qu’on a sous estimé les efforts de son équipe, alors que ce n’était du tout pas le cas puisque on a évoqué le service de dermatologie de l'hôpital Farhat Hached de Sousse dans notre article.
 
On a été aussi informé que les noms du Pr. Ali SAAD le chef du laboratoire, et du Professeur Agrégé Moez Gribaa, responsables de toute la partie génétique figurent dans la liste des auteurs des deux publications mentionnées dans l’article (J Invest Dermatol. 2015 Jan;135(1):304-8 et Cell).
 
Ayant pris acte de ces précisions, voilà qu’on les édite en souhaitant plus de succès à nos médecins et à nos chercheurs.

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