Trop belle pour... travailler !

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Laura Fernee estime que sa figure mince, son visage attrayant et ses cheveux brillants ont fait d'elle la cible d'avances sordides de la part de ses collègues masculins et de méchancetés gratuites de la part des autres femmes avec qui elle travaille.

 Elle est radieuse, conviviale et a un CV irréprochable. Mais pourtant Laura Fernee a quitté son emploi, s'estimant trop jolie pour travailler. La diplômée des universités de Londres et Bristol estime que son apparence est la raison des avances sordides et des méchancetés gratuites de ses collègues.

Laura a 33 ans et a étudié la Sciences et la Recherche Médicale et déclare : "Je ne suis pas fainéante ni une bimbo ! La vérité c'est que ma bonne mine m'a déjà causé beaucoup de problèmes dès que ça touche à l'emploi. Donc j'ai décidé que travailler n'était pas pour moi, pas en ce moment du moins.

" Vous aimez nos contenus ? Recevez gratuitement la meilleure news et vidéo du jour, et profitez des conseils de Consogazette pour améliorer votre pouvoir d'achat "Tout ce qu'ils voyaient était mon visage"  

Interrogée par le Daily Mirror, Laura Fernee estime que c'est parce qu'elle est à la fois belle et intelligente que ses collègues s'en sont pris à elle : "Ce n'est tout de même pas ma faute si j'ai l'air jolie (...) L'intimidation au travail et le harcèlement, à cause de mon apparence, me laissait pas d'autre choix que de quitter mon dernier emploi dans la recherche médicale en 2011.

J'ai passé de nombreuses années à l'université de Londres et Bristol étudier pour obtenir un diplôme, un diplôme d'études supérieures et un doctorat, du coup je n'ai seulement commencé à travailler en 2008, faisant de la recherche médicale. Je voulais qu'ils reconnaissent ce que j'avais accompli et mon professionnalisme, mais tout ce qu'ils voyaient était mon visage et le corps qui va avec.

" La jeune trentenaire britannique a d'ailleurs profité de cette interview pour expliquer le "harcèlement" subi lorsqu'elle travaillait : "Je suis constamment invitée à des rendez-vous, ou ennuyée par des cadeaux romantiques et des notes sur mon bureau. Je trouve mes collègues louches et ils me mettent mal à l'aise. (...)

Même quand j'étais dans un laboratoire sans maquillage et négligée ils venaient encore à moi à cause de mon attrait naturel. Il n'y avait rien que je puisse faire pour l'arrêter." Sans emploi depuis 2011, elle est revenue chez ses parents  Selon elle, l'attitude des hommes à son égard est oppressante, pas très fine, mais ça n'est rien comparé à celle des autres femmes, qui refusaient de déjeuner avec elle.

Désabusée et résignée, Laura Fernee a donc quitté son emploi. Depuis, elle vit aux crochets de ses parents, dépense sans compter en vêtements, sorties et autres plaisirs de la vie oisive.  Estimant que sa beauté est une sorte de malédiction dans le monde du travail, elle fait du mannequinat occasionnellement et se la coule douce le reste du temps... en attendant que sa beauté disparaisse ?

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